Regard perdu, loin de tes sales pensées. Homme faible. Tu mens. Tu mentiras. Mots ternes qui ne valent pas plus que tes jouets de plastique. Bonheur. Et tu oses me jeter ça ainsi. Ignorant aux doigts sans vérités. Peau morte à l'odeur de pisse. Ne vaut pas mieux que ses joies. Et tu t'étonnes ? Te noies allégrement dans la merde que tu vénères, comme une loi dont à laquelle rien n'échappe. Tes étrons m'ennuyaient, je n'irai pas salir mes bottes. A la recherche du bonheur. Et moi je m'étonne de ne pas écraser un peu plus ton visage contre le sol. Moue de dégoût, un instant. Rouler.
Mon accordéon de Vie et moi seule dans cette pièce. Vivre. ... . Penser. Une vie d'Artiste et je peindrais un tableau où finir. Avec diables, dieux et violon. La musique en ton sein. Tu n'as pas compris les histoires que je me murmurai. Tu n'as rien saisi. Verre que je brise, du souffle de mes nuits.
Samedi 7 mars 2009 à 20:13
Ajouter
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://with-the-light-out.cowblog.fr/trackback/2804686
Pardon ? ô.ö