Et maintenant ? Rien.
J'embrasse le vieillard, la chevrette, l'illusionniste, le dictateur, sa femme, le dresseur de poney, l'artiste, l'inutile, le professeur d'art, awah, ma jolie Lucie. Et autres lecteurs. Soupire mille fois.
Vos souffles ci et là
Par le Mardi 15 juillet 2008 à 17:44
Le dictateur te salue, en espérant, comme on espère toujours dans ces cas là, que ce n'est pas définitif.
Une armée de phallus tire une salve d'honneur, et la foule sort ses parapluies.
Une armée de phallus tire une salve d'honneur, et la foule sort ses parapluies.
Par le Lundi 28 juillet 2008 à 4:23
Je tiendrai une petite lanterne à ta porte.
Il faut garder encore un peu de lumière. Même une p'tite lueur.
Il faut garder encore un peu de lumière. Même une p'tite lueur.
Par le Dimanche 3 août 2008 à 15:51
Ma jolie Camille, revient nous vite... Et me laisse pas sans nouvelle...
Bisous
Bisous
Par le Dimanche 24 août 2008 à 16:22
L'été, on se disperse, c'est normal. Mais on finit toujours par revenir. Non ?
Par le Mercredi 3 septembre 2008 à 22:31
Le petit dessin est tendre... le texte aussi !
Par le Lundi 8 septembre 2008 à 21:15
Il n'y a jamais "rien".
Une bien jolie phrase de clôture. Et peut-être, un jour, une suite tout de même ?
Bon vent à toi ! :)
Une bien jolie phrase de clôture. Et peut-être, un jour, une suite tout de même ?
Bon vent à toi ! :)
Par le Vendredi 5 décembre 2008 à 9:01
Utain j'avais pas vu ct'article !
C'est moi le dresseur de poney, fier comme un vaker.
Bon en tout cas, je vais profiter de cet article de Fin, pour te souhaiter un bon recommencement (j'espère). :)
C'est moi le dresseur de poney, fier comme un vaker.
Bon en tout cas, je vais profiter de cet article de Fin, pour te souhaiter un bon recommencement (j'espère). :)
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Qui sait ? Peut-être tourneras-tu une nouvelle page ailleurs, pas si loin d'ici. En attendant, que te dire sinon te souhaiter bonne route et te remercier ? L'été est déjà là. Le voyage commence...